TADJIKISTAN | CHASSE des GRANDS SANGLIERS

La chasse du sanglier au Tadjikistan permet à la fois de chasser vraiment à l’approche le sanglier tout en ayant les meilleures chances de tirer un grand mâle armé.

Au sud et à l’est de Dushambé la capitale. Des montagnes sauvages, les contre forts des Pamirs, où les villageois sont heureux d’accueillir ces étrangers qui viennent tirer ces gros sangliers qui leur ravagent leurs récoltes. La montagne ici n’est pas de rocs mais plutôt de terre grasse et fertile où les fruits forestiers abondent.

Gibier :

Le sanglier (sus scrofa attila). Malgré un territoire riche, les densités de sangliers sont faibles mais ils peuvent vieillir et les grands solitaires sont bien présents.
Le mode de chasse permet en outre de bien les repérer et de sélectionner les approches.

Méthode de chasse :

Le relief, la végétation assez clairsemée et la neige permettent de voir les sangliers de loin. Le guide vous emmène dans les secteurs propices préalablement repérés par lui-même ou les villageois. Vous allez prospecter une, deux ou trois petites vallées, combes ou flancs de montagnes
où les animaux sont censés passer la journée.

Une fois l’animal de chasse repéré, c’est une chasse classique d’approche en montagne qui commence. Il arrive que des animaux soient rembuchés dans
un secteur très sale ou impraticable. Dans ce cadre le guide pourra envisager une petite manœuvre pour faire bouger les animaux et le mettre à portée de tir.

Le groupe est idéalement constitué de 2 à 4 chasseurs. Au-delà, les chasseurs devront chasser en binôme : Cela peut être très sympathique mais diminue légèrement les chances, sauf dans les cas de petites manœuvres, bien sûr.

Saison et climat

De mi novembre à mi février pour profiter de la neige qui aide beaucoup à la localisation des animaux. Décembre correspond au rut, les mâles seront avec les femelles, plus faciles à repérer mais aussi plus facile de se tromper…

Le froid n’est pas excessif mais -10°C le matin n’est pas extraordinaire non plus. Le soleil de l’après midi sera agréable et comme on marche pas mal, on n’a pas souvent froid. A comparer avec les sports d’hiver en France.

On est accueilli au village, chez l’habitant. Très rustique. C’est une expérience unique, on a l’impression de revivre 100 ans en arrière avec des gens fiers, dépourvus de tout sauf de cœur et qui font leur maximum pour les chasseurs.

La nourriture est locale mais bonne, on dort sur des nattes et des tapis persans et les toilettes sont au fond du jardin mais quelle importance. Les casse-croûtes sont souvent léger (pain, saucisson, noix) et il n’est pas inutile de prévoir quelques barres chocolatées…

Chasse : Carabine de calibre 300 au minimum équipée d’une lunette de tir. On peut tirer à 50 m comme à 250 m sur un gros mâle : Il faut donc un calibre et une arme efficace à cette distance. Vêtement : La latitude est celle de la Sicile mais la montagne et le climat continental amène des conditions plus rigoureuses.  Il faut des vêtements assez « techniques » qui permettent l’effort dans un environnement froid et de neige c’est-à-dire léger, chaud et respirant à la fois. Gore tex, polaire etc…

Des chaussures de montagne chaudes et imperméables pour ne pas se mouiller quand la neige est fondante. Des guêtres bien sûr. Gants, bonnet de laine, lunette de soleil pour la journée.  Un petit sac à dos (30 litres) pour transporter un vêtement et le matériel de la journée (gourde, chocolat, télémètre, balles…).

Le prix comprend :
L’accueil aéroport et l’ensemble des transferts.
L’organisation de 5 jours de chasse.
La nourriture et l’hébergement.
Les frais de permis de chasse et de port d’arme Tadjiks.
L’accompagnement par un membre de DHD LAIKA Russie.

Le prix ne comprend pas :
L’avion.
Le visa sur place ou avant départ
Les frais d’accueil CIP très fortement conseillé (environ €60 par passage à régler sur place aller et retour).
Les assurances facultatives et pourboires.
Repas et Hôtel à Dushambé au retour
Les taxes de tirs
Préparation des trophées 10€ pièce